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We’ve turned intuition into a buzzword—flattened it into a slogan, a gut feeling, or a vague whisper we don’t always know how to hear. But what if intuition is so much more? What if it's one of the most powerful tools we have—and we’ve just forgotten how to use it? In this episode, I’m joined by Hrund Gunnsteinsdóttir , Icelandic thought leader, filmmaker, and author of InnSæi: Icelandic Wisdom for Turbulent Times . Hrund has spent over 20 years studying and teaching the science and art of intuition through her TED Talk, Netflix documentary (InnSæi: The Power of Intuition), and global work on leadership, innovation, and inner knowing. Together, we explore what intuition really is (hint: not woo-woo), how to cultivate it in a culture obsessed with logic and overthinking, and why your ability to listen to yourself might be the most essential skill you can develop. In This Episode, We Cover: ✅ Why we’ve misunderstood intuition—and how to reclaim it ✅ Practical ways to strengthen your intuitive muscle ✅ What Icelandic wisdom teaches us about inner knowing ✅ How to use intuition during uncertainty and decision-making ✅ Why trusting yourself is an act of rebellion (and power) Intuition isn’t magic—it’s a deep, internal guidance system that already exists inside you. The question is: are you listening? Connect with Hrund: Website: www.hrundgunnsteinsdottir.com TedTalk: https://www.ted.com/talks/hrund_gunnsteinsdottir_listen_to_your_intuition_it_can_help_you_navigate_the_future?utm_campaign=tedspread&utm_medium=referral&utm_source=tedcomshare Newsletter: https://hrundgunnsteinsdottir.com/blog/ LI: www.linkedin.com/in/hrundgunnsteinsdottir IG: https://www.instagram.com/hrundgunnsteinsdottir/ Book: InnSæi: Icelandic Wisdom for Turbulent Times Related Podcast Episodes: How To Breathe: Breathwork, Intuition and Flow State with Francesca Sipma | 267 VI4P - Know Who You Are (Chapter 4) Gentleness: Cultivating Compassion for Yourself and Others with Courtney Carver | 282 Share the Love: If you found this episode insightful, please share it with a friend, tag us on social media, and leave a review on your favorite podcast platform! 🔗 Subscribe & Review: Apple Podcasts | Spotify | Amazon Music Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices…
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La transat en solidaire, c'est fini, mais Gilles, Maxime et tout l'équipage vous invite à poursuivre l'aventure via internet. Restez connectés quelques surprises sont à venir, et rendez vous le 5 décembre lors du salon nautique de paris et la remise officielle des prix de la mini transat pour un dernier épisode. A bientôt !…
Après trois semaines de mer, nous apercevons les côtes brésiliennes et la ville de Salvador de Bahia. De grands buildings défient la mer et pour beaucoup d'entre nous, c'est un choc visuel! Nous passons la ligne aux côtés d'Hervé Aubry, un des ministes que nous avons suivi pendant la course. Sur Podorange, c'est l'effervescence, rasage, parfum, vêtements propres, il faut faire honneur ! Et quel accueil : fruits frais, caipirinha et bahianaise souriante, un vrai bonheur! Comme le veut la tradition, après ça, tous a l'eau! Bien entendu, le tarif est le même pour Gilles et Maxime, qui auront ensuite l'occasion de se remettre de leurs émotions autour d'un bon repas à terre. L'aventure de la transat en solidaire touche à sa fin, encore quelques jours à savourer au brésil...…
Nous sommes a la veille de l'arrivée. Déjà, la chaleur de la terre se fait sentir et nous vous proposons de suivre cette fin de transat sous l oeil aiguise de Gilles, dit Don Gillo. Voici donc son quotidien, ses petites habitudes et son point de vue sur les choses. Une derniere journee de mer avec ses petits rituels : lever, petite boisson du matin, preparation avant bahia, conversations sur le pont, repas et visionnage de podcasts. Demain, la fin de la transat et les couleurs du bresil...…
Ce matin, l’agitation s’empare du pont avec la prise dans nos lignes d’un thon blanc. Pour l’équipage, c’est une promesse de délicieux fumets à venir. L’occasion d’évoquer le travail de nos pêcheurs, Laurent et Jean-Marc qui chaque jour de cette traversée ont su peaufiner leur technique et leurs rapalas. Une fois le thon découpé, c’est un festival culinaire. Il y a les partisans du tout cru version sashimi, ceux qui le préfèrent à la tahitienne, lait de coco, citron vert et autres ingrédients tenus secrets, et enfin les adeptes du « vuelti-vuelta », juste le temps d’un aller-retour sur le feu. Il ne restera donc rien de ce thon : à douze estomacs, quoi de plus normal...…
Nous vous dévoilons le fameux rituel de passage de la ligne de l’équateur . La transat en solidaire voit ainsi six novices la franchir pour la première fois. C’est donc l’heure du baptême et ça, c’est l’affaire des dieux. Poseidon, Eole, Bachus, Cupidon, Yemandja et Artémis sont donc chargés de valider le passage de Claire, Matteo, Gillo, Max, Pierrick et Jean-Marc. Diverses épreuves les attendent : composition du rap de l’atlantique, odes au dieux, confection d’un podorange à base de sondes urinaires, ode a la nature et drapeau pirate, les candidats passent les tests haut la main. Chacun aura donc droit à son verre d’eau salée. La ligne, c’est validé !…
Au beau milieu de l’Atlantique, tout près de l’équateur, il existe un curieux petit rocher, aux allures fantomatiques. Il abrite des colonies d’oiseaux, on y observe couramment des raies mentas et occasionnellement des requins baleines. Les scientifiques y ont installé une base pour étudier les espèces endémiques qu'on ne trouve que là. C’est aussi un spot de plongée réputé. Nous avons la chance de pouvoir nous y arrêter quelques heures, pour le plus grand bonheur de tout l’équipage et en particulier de Gilles. Plonger là-bas pour lui, c’était un rêve, tout comme Laurent d’ailleurs, notre homme grenouille. Autant dire qu’aussitôt au mouillage, Gilles et Laurent n’hésitent pas à enfiler un masque et à se jeter à l’eau. Le spectacle est au rendez-vous : tortue et bancs de poissons multicolores. Gilles en est submergé d’émotion, car comme il le dit sous ce caillou qui ne ressemble à rien, se cache un vrai trésor, un des trésors de l’atlantique.…
La nuit, Podorange et son équipage ne dorment pas , bien au contraire, il faut veiller pour assurer la bonne progression du bateau. A partir de la tombée du jour, un système de quart est ainsi mis en place. Des équipes de trois se relaient ainsi toutes les trois heures. Gilles et Maxime, eux aussi, assurent leurs quarts. A chaque changement, il faut réveiller l’autre équipe, c’est d’ailleurs parfois un peu douloureux pour certains. La vie la nuit sur Podorange, est ainsi faite de ces passages de relais, des quarts confidence sous les étoiles filantes, aux quarts du boulanger qui pétrissent le pain pour le petit déjeuner à venir, en passant par les quarts plus difficiles où l’on se fait rincer. C’est ainsi que peu à peu le sommeil se décale. En mer, on ne dort pas comme à terre. Nuit, jour, plus vraiment d’importance. Une seule idée, naviguer au mieux, jusqu’à Bahia.…
Nous nous déroutons pour aller à la rencontre d’un coureur en proie à un problème, mais alors que nous traversons un grain assez violent, notre grand voile se déchire ou plutôt se découd sur toute sa largeur. Et nous sommes contraints de l’affaler de nuit. Nous nous retrouvons donc privés d’ailes, au moteur, ballottés par les vagues. Car un voilier sans voile se n'a plus aucune stabilité... Il faut absolument réparer au plus vite. C’est ainsi que dès le lendemain, Podorange prend des allures d’atelier de voilerie . Tout l’équipage s’y met, armé de fils et d’aiguilles pour recoudre la grand voile avant la nuit. L’objectif est atteint au prix d'un travail acharné, du lever du soleil à la tombée de la nuit, dans une bonne houle qui secoue Podorange d'un flanc sur l'autre. Nous renvoyons finalement la grand voile, anxieux de savoir si la réparation va tenir le choc du nouveau grain qui s'annonce... Eh bien oui ! Nous pouvons enfin éteindre le moteur en admirant notre œuvre collective, ces coutures qui nous permettent de glisser à nouveau sur l'Atlantique. Podorange fend fièrement la vague, stabilisé et entraîné par sa grand voile... L'équipage est heureux mais éreinté après une journée sans dormir, et les quarts de nuit s'annoncent difficiles...…
Nous arrivons dans le Pot au noir, la fameuse ZCIT, zone de convergence intertropicale dans laquelle les deux systèmes météo nord et sud se rencontrent. Le résultat ? Une alternance de zones de calme plat, voire de pétole et de chaleur intense, avec des grains plus ou moins violents, venteux et pluvieux, annoncés par de gros nuages noirs. Pour tout l’équipage, ces grains sont l’occasion de faire de grandes lessives et de se savonner à même le pont, rincés par les pluies torrentielles. Pour les ministes, c’est un peu plus compliqué, puisqu’il est dit que la mini se gagne ou se perd dans le pot au noir. L’alternance de grains et de pétole est usante pour les nerfs, il faut y faire preuve de patience. Nous en croisons quelques uns sur notre route. Un clin d'oeil spécial pour Antoine Rioux.…
Peindre en mer, croquer l’équipage et les lumières de notre aventure, tel est le rôle de Claire, notre dessinatrice. A terre, c’est aussi sa passion, son métier, puisqu’elle enseigne l’art du dessin animé. Sur Podorange, armée de ses crayons et de ses pinceaux, elle tente de capter et de retranscrire l’atmosphère si particulière de la transat en solidaire. Et son art fait des émules ! Jean-Marc, un des médecins du bord prend ainsi un cours d’aquarelle avec elle et se lance lui aussi dans le dessin en mer. Claire nous explique comment elle s’y prend, notamment pour dessiner de nuit lorsqu’elle est en quart, sous les étoiles. Mais Il y a des choses impossibles à croquer sur le vif, comme lors de ces rencontres magiques avec les dauphins, et comme elle le souligne "alors là, il n’y a plus qu’à contempler, et c’est peut être mieux comme ça".…
Être bâteau accompagnateur de la mini transat signifie pour nous un devoir d’assistance aux ministes en cas de problème. Mais sans aller jusqu’à cet extrême, le suivi de course est une mission quotidienne que nous présente Florent. Il est essentiellement rythmé par les deux vacations journalières à la VHF pour s’enquérir des positions des coureurs qui nous entourent ; elles sont bien sûr aussi l’occasion de prendre de leurs nouvelles. C’est la direction de course qui nous positionne et deux fois par jour, nous recevons les fichiers météos et les nouvelles positions des ministes. Mais pour Florent, il n’est pas simple de se concentrer sur ce suivi de course, car il est aussi un des chefs cuistots du bord. Et c’est également l’un des équipiers les plus légers et les plus habiles, aussi le retrouve-t-on souvent à faire des acrobaties en haut du mât pour effectuer les quelques réparations nécessaires. Un exercice périlleux, avec parfois quelques bobos à la clef, mais rassurez-vous, rien de grave, Florent va bien !…
Cette fois, nous vous emmenons dans le ventre même de Podorange à la découverte du travail de notre monteuse du bord, Jeanne. C’est en effet dans le carré qu’elle monte les épisodes du journal de bord, et ce, par toutes les températures, toutes les mers et toutes les allures! Du tournage avec cameras HD à la transmission par fleet, voici les conditions de travail d’une monteuse voyageuse pas comme les autres !…
Alors que la mer est agitée et que le vent souffle dans nos voiles, l’intrépide Gilles décide tout de même de taper sa newsletter en compagnie de sa secrétaire particulière, Claire. Deux ou trois fois par semaine, il met ainsi en ligne ses humeurs et son regard sur le voyage via son blog retransmis sur le site de la mer en solidaire. A terre ou quand la mer est calme, Gilles le fait seul en utilisant pour cela une licorne, un système qui lui permet de taper ses textes sans avoir à se servir de ses membres. Un casque harnaché de curieuse manière est en effet le moyen pour lui d’exprimer ses états d’âme par l’écriture. Il n’a pas pour habitude d’avoir sa langue dans sa poche et sa plume est plutôt acérée. Qu’on se le dise : Gilles voit tout, entend tout, sait tout et vous raconte (à peu près) tout !…
Ils ont embarqué en se surnommant eux-mêmes chapi-chapo ! Malgré cette décontraction et ce joli sens de l’auto-dérision, nos deux médecins du bord, Jean-Marc et Pierrick apportent beaucoup à l’équipage. Tous deux sont urgentistes et travaillent à Lorient. Ils ont créé l’association Med-mer, spécialisée dans la médecine en mer et en bateau. Depuis des années, ils forment les navigateurs aux premiers secours et les aident à constituer des pharmacies efficaces. Traverser l’atlantique, pour tous les deux, c’est une première, un rêve, mais aussi l’occasion de tester grandeur nature leur savoir faire en mer. Depuis quelques jours, ils se révèlent tous deux plein de ressources, car outre le livre dont ils viennent nous parler dans "Podostrophe", la pharmacie de bord qu’ils restructurent, leurs talents sont beaucoup plus vastes ! Jean-Marc forme l’équipage aux massages, alors que Pierrick brille d’ingéniosité pour couvrir de fleurs Brice, le capitaine, à l’occasion de son anniversaire. Un bouquet comme vous n’en avez certainement jamais reçu d’ailleurs !…
Alors que le vent ne se presse pas à nous accorder ses faveurs, nous passons en mode pétole. Au pogramme, baignade pour une bonne partie de l’équipage à l’arrière du bateau, avec option décrassage général pour certains. En cuisine, les marmitons se lâchent, et la journée à bord prend des airs de club de vacances. Un peu étrange dans ces conditions de croiser des ministes qui vivent leur traversée de l’atlantique en solitaire à bord de leurs embarcations de 6,50 mètres ! Mais le soleil tombe déjà et nous sommes plusieurs à apercevoir le fameux rayon vert, images à l’appui ! Il est alors temps de passer en équipe de quarts, des équipes de trois personnes qui se passent le relai toutes les trois heures pour assurer la bonne marche du bateau pendant la nuit et veiller à ce que notre route ne croise pas celle d’autres voiliers !…
Alors que notre chasse aux minis se poursuit, et que l’équipage commence à bien prendre ses marques, un bruit attire notre attention. Un bruit, ou plutôt un souffle, voire plusieurs. A quelques centaines de mètres du bateau, plusieurs cétacés se font remarquer. Baleine, cachalot ? Les pronostics vont bon train, tout comme la meilleure façon de les approcher. Pour Laurent, il semble que ce soit avant tout une histoire de bon choix musical…Mais la baleine est joueuse, et elle n’aime guère les caméras, pas évident donc de parvenir à mettre en boite ces charmantes compagnes de voyage. Pour Gilles et Maxime, pas facile non plus de les observer. Les baleines prennent un malin plaisir à changer de côté ; mais les bras de l’équipage sont là pour changer Gilles de bord. Maxime lui mettra du temps à les voir. Heureusement, la baleine est bienveillante et finira par le gracier lui aussi d’une belle apparition.…
Podorange est positionné par la direction de course pour faire route vers l'est. C'est ainsi que nous nous retrouvons en plein cœur de l'option dite espagnole, puisque trois ministes espagnols sur les six présents dans la course ont choisi de mettre de l'est dans leur route; l'essentiel des ministes étant partis vers l'ouest. Un véritable choix stratégique donc. Nous sommes chargés de veiller sur nos "petits gars de l'est" jusqu'aux abords du Cap vert. L'occasion de lancer une chasse aux ministes! Même si pour Mattéo, notre équipier acrobate, il est toujours l'heure de tenter de nouvelles expériences. Cette fois, session de "Podo-kyte"!…
Après deux semaines d’escale, l’heure du départ pour la seconde étape de la course (Madère-Salvador) est enfin toute proche. Tous les ministes sont sur le pont. Certains sont fin prêt, et ne pensent qu’à s’élancer ; pour d’autres, le doute est bien présent et les nœuds au ventre aussi…Pour Hervé, il est l’heure de dire au-revoir à Caroline non sans une certaine émotion. Podorange lui aussi largue les amarres à nouveau. La transat 6,50, c’est reparti !…
Denis Hugues nous explique le rôle des bateaux accompagnateurs sur cette course. Ils sont sept, Podorange, Tzigane, Max Havelaar, Céleste, Penn Ar Clos, Zidibule, et Solo. Et alors que le départ s'approche, il délivre ses derniers conseils aux coureurs.
Nous accueillons deux nouveaux équipiers à bord : Jean-Marc et Pierrick. Tous deux sont médecins; ils font partis de l'association Med mer, et sont spécialistes de la médecine d'urgence en mer. Ils embarquent pour la seconde étape Funchal-Salvador de Bahia et viennent donc relayer les équipiers de la première étape, Marc et Stéphanie.…
Après une dizaine de jours passés au sein de la marina de Funchal, nous brûlons d'impatience de partir visiter l'ile. Sept d'entre nous (Gilles, Max, Jeanne, Claire, Tat, Flo et Matteo) auront la chance de le faire, alors que le reste de l'équipage s'affaire sur le bateau. Et quel spectacle ! Nous nous levons alors qu'il fait encore nuit. Le but du jeu, atteindre un des sommets de l'île au lever du soleil, le Pico Juncal. Les couleurs et les contrastes sont incroyables. Paysages lunaires, air froid de la montagne, l'univers de la course s'éloigne quelques instants. Les sentiers sont difficilement accessibles avec les fauteuils, mais qu'importe. L'aventure, c'est l'aventure...Apres avoir sillonné les tortueuses routes de l'île, Max nous fait comprendre qu'il ne faut pas trainer. Ce soir, il a un podium a assurer puisque la remise des prix pour la régate a lieu. Encore bravo mini-Max!…
Parce qu'après tout, il n'y a pas que la voile dans la vie, l'équipe d'organisation de la course a decidé de passer en mode football ! Un tournoi a ainsi été organisé sur la plage de Funchal. Equipe de ministes, de bateaux accompagnateurs se sont ainsi confrontées au cours de l'après-midi. Podorange était bien sur de la partie, avec son coach, Gilles, et son commentateur sportif enflammé, en la personne d'Hervé. Podorange n'a hélas pas atteint la finale, peut être un manque de préparation physique et d'échauffement...Et nous finissons le tournoi en buvant des verres a la santé de Caroline, qui, elle, se bat sur le terrain avec son équipe et remporte la finale. Un heureux présage pour la suite ?…
Une trentaine de ministes ont pris la mer ce matin à l’occasion d’une petite régate organisée par l’équipe de la course. Le but du jeu, faire découvrir la voile aux enfants de l’île en embarquant certains d’entre eux comme équipiers à bord des minis. Des enfants, mais pas seulement. Maxime, équipier de Podorange a lui aussi été invité à embarquer sur un bateau lors de cette régate. Franck Colin, naviguant sur le numéro 614 "Loukoum’mama" l’a en effet pris à son bord, avec un autre ministe, Olivier Avram. Une vraie révélation pour Max, d’autant que le résultat est au rendez vous ! Le 614 finit troisième de la régate. Podium au programme mardi, de quoi se sentir pousser des ailes……
Parmi les 84 ministes qui ont pris le départ de la course, on compte seulement six femmes. Caroline est l’une d’entre elles. C’est aussi la femme d’Hervé, l’un des équipiers de Podorange, et l’un des initiateurs de la transat en solidaire. A bord de Podo, il suit de loin sa belle dans son aventure en solitaire ; Cette escale est donc l’occasion pour lui de nous présenter Caroline. Elle nous fait visiter son bateau, Tamagoshi, un prototype en carbone de 6,50 mètres. Cette course, elle la prépare depuis quatre ans ; la première étape a été pour elle l’occasion de vivre sur Tamagoshi pendant une semaine et de tester ses potentialités. Que mange-t-on, comment se lave-t-on ou dort on sur un mini ? Caroline nous explique tout. Dans quelques jours, elle s’élancera pour le Brésil, direction Salvador de Bahia, et nous lui souhaitons bien entendu bon vent !…
Nous sommes en escale à Madère pour près de deux semaines, et les lendemains d’arrivée sont bien particuliers. Nettoyer le bateau, mettre de l’ordre, ou fêter ça ? Pour l’occasion et alors que les derniers ministes arrivent au port de Funchal, l’équipage décide de concilier les deux. Il faut dire que c’est aussi la dernière soirée de notre très cher Marc, le médecin du bord, qui repartira dès demain vers la France et ses obligations professionnelles. Il est donc bien normal de fêter ça. L’occasion de rencontrer les ministes que nous avons finalement peu croisé lors de la première navigation. Des ministes plutôt en forme d’ailleurs, et bien décidés à profiter de la nuit jusqu'au bout ! Cette ambiance de fête de marins n’est pas pour déplaire à Marc qui n’hésite pas à se jeter à l’eau……
Après huit jours de navigation, nous approchons au petit matin des côtes de l’archipel de Madère et de notre destination, Funchal. Pour l’occasion, les trois équipiers de quart, Jeanne, Marc et Matteo, réveillent tout le bateau, histoire de contempler la terre en approche et baignée d’une douce lumière. Une escale de près de deux semaines est prévue sur l’île. A la base, elle a été insérée dans la course pour permettre à certains coureurs de s’en tenir là, si les difficulés physiques, psychologiques ou les avaries matérielles sont trop importantes. Cette fois, sur les 84 skippers en lice, seuls deux ont dû se résoudre à abandonner. Mais pour tous les ministes, elle sera l’occasion de reprendre quelques forces et de se préparer à la suite, la traversée Funchal-Bahia. L’occasion aussi de procéder aux réparations de leurs bateaux. Pour nous aussi cette escale est importante, car Podorange lui aussi a besoin qu’on s’occupe de lui avant sa transat……
Adapter le voilier Podorange pour le rendre accessible au plus grand nombre, est depuis le départ le projet de ses propriétaires. La transat en solidaire, c'est aussi cette première. Gilles et Maxime, les deux équipiers infirmes moteurs cérébraux sont ainsi les premiers à inaugurer tout un ensemble d’équipements adaptés et développés pour le projet par le centre Kerpape de Lorient. Aujourd’hui, c’est Gilles qui nous présente ces adaptations, même si sur Podorange, il n’est jamais évident d’être sérieux bien longtemps...…
Poursuivons notre revue d'équipage avec cette fois, une équipière de choc et de charme, Stéphanie. Cette recrue de dernière minute n'est autre que la kinésithérapeute de la mini-transat. Sa mission : réparer les corps fourbus des coureurs lors de l'escale de Madère. Pour se rendre sur place, elle a préféré prendre la mer plutôt que les airs et c'est ainsi qu'elle s'est retrouvée à bord de Podorange. En effet, une place était vacante pour cette première partie de navigation et la présence d'une kiné à bord était une bonne chose pour Gilles et Maxime, mais aussi pour tout l'équipage! Notre jolie kiné a donc eu tôt fait de s'intégrer à l'équipe et nous faire profiter de son savoir faire et de sa bonne humeur.…
Dans cet épisode, nous commençons à vous livrer un tour d'horizon de notre équipage. Et pour lancer la série, nous vous présentons Marc, notre médecin de bord. Au service de la course, mais aussi de l'équipage, il est avec nous sur la première partie de la traversée, jusqu'à Madère. Dans la vie à terre, Marc est chirurgien plasticien, il exerce dans plusieurs hôpitaux et cliniques d'ile de France. Dans son service, on le surnomme "le dr house". Et pour cause, ce passionné de mer et de voile se révèle sous nos yeux être un médecin bien atypique et doté d'un humour irrésistible. D'ailleurs lui même avoue en fait être "le gardien du parking de la clinique" et avoir toujours rêvé d'exercer la médecine. Et bien, le rêve se réalise sur Podo ! Si notre médecin n'a pas encore été sollicité par la direction de course; en revanche, la vie quotidienne à bord ne va pas sans son lot de petites éraflures, coupures, infections et autres merveilles. De l'opération sans anesthésie de l'abcès de Brice à la curieuse soupure de Florent, vous saurez tout sur les coulisses de notre santé en mer... Une chose encore, Marc a réalisé un autre de ses rêves à bord de Podorange : faire du pain! Comme quoi parfois, le bonheur n'est pas si compliqué……
Dans ce journal de bord, nous vous parlons de l’ennemi numéro un du marin d’eau douce, le mal de mer. A bord, certains en souffrent, d’autres, pas le moins du monde. Les longues traversées démarrent ainsi la plupart du temps par une période plus ou moins délicate d’amarinage. Le temps que les corps "terriens", se fassent au rythme de la mer. Ainsi, plusieurs d’entre nous vont être gagnés par cette étrange et lancinante langueur, doublée la plupart du temps du sentiment d’être barbouillé. Marc, le médecin du bord, qui "n’a le mal de mer qu’en mer", a un truc pour y mettre fin, un remède qu’il distribue allègrement à tout l’équipage. Et qui porte ses fruits, peu à peu. Ainsi quand la direction de la course nous demande de dévier notre chemin en direction de la Corogne au nord de l’Espagne, pour prêter assistance à cinq ministes en difficulté, c’est aussi pour nous l’occasion de toucher terre quelques heures et de nous remettre de nos émotions autour d’un bon plat de pâtes chaudes. Mais à peine le repas fini, il est déjà temps de reprendre la mer, les conditions s’annoncent plus musclées pour la nuit à venir.…
Nous vous présentons ici le parcours de la transat 6,50 charentes-maritimes-Bahia, dite "mini-transat". De la rochelle à Salvador de Bahia, en passant par l’escale à Madère, quels seront les temps fort de cette navigation, ses principales difficultés ? Brice, le skipper de Podorange nous dresse le parcours qui attend les 84 ministes et au cours duquel ils auront à faire face à toutes sortes de conditions météo, du golfe de Gascogne en passant par les Alysées et le fameux Pôt au noir. Parcours que nous aurons nous aussi à suivre, en fonction des aléas de la course, puisque nous obéissons aux ordres de la direction de course : c’est elle qui nous positionnera en début, fin ou milieu de course, en fonction de ce que les circontances exigent.…
C’est le jour J, pour Podorange et tout son équipage. Cest aussi le grand moment pour les 84 ministes. A 14h17, l’organisation de la course sonne le départ. Un départ en fanfare, puisque les troupes de la batucada "Banda è tribal" nous accompagnent ! Le départ, un moment magique : sur la mer, des voiles de toutes les couleurs, entre les minis, les bateaux accompagnateurs et ceux des familles, des amis, venus les saluer. 84 skippers prennent donc la mer, pour une traversée de l’atlantique de la rochelle à Salvador de bahia, en faisant escale à Madère. Nous les accompagnerons au cours de l’aventure pour leur prêter assistance si besoin. Pour nous aussi, c est l’occasion de nous remettre à naviguer ensemble, et les premières manœuvres ne sont pas des plus fluides…Et puis ça y est, le temps d’une respiration, c est toute une flotte qui s’élance à l’assaut de l’océan. La transat en solidaire, édition 2009, c’est parti !…
À la veille du départ, l’ambiance est électrique. Les 84 skippers ont pris place dans le port de la Rochelle, avec leurs « minis », de petits bateaux de 6,50 mètres. Tous n’ont qu’un rêve en tête, arriver "de l’autre côté", au Brésil, à Salvador de Bahia, et pourquoi pas, finir premier ! Du côté de Podorange, l’un des sept bateaux accompagnateurs de cette mini-transat, l’ambiance est elle aussi à son comble. Les caisses et les sacs s’étalent sur le ponton, le long du bateau, prêtes à y être embarquées. C’est l’aventure de ce bateau et de son équipage que nous vous proposons de suivre tous les jours en quasi-direct sur internet. Le journal de bord relatera de manière quotidienne les différentes étapes du parcours. Embarquez avec nous pour cet incroyable voyage !…
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